2020 : un excellent cru boursier, aux premières gorgées amères.
L’indice MSCI World TR termine l’année en hausse de 14,8%, le Nasdaq Composite a progressé de 44,9% et termine à son plus haut historique. Les indices S&P500, Nikkei, et MSCI Emerging Markets montent de plus de 18% (performances en devises locales). Seule la zone euro fait exception avec une baisse de 3,2%, liée en partie au poids des banques et des valeurs cycliques dans les indices. A mesure que les risques pesant sur l’activité économique mondiale s’éloignaient, le dollar a perdu son statut défensif pour baisser, contre euro, de 8,2%
La confirmation de la victoire de Joe Biden, l’activisme des banques centrales et le démarrage des programmes de vaccination ont permis aux marchés financiers de poursuivre leur progression au mois de décembre. Le mouvement de rotation vers des secteurs plus sensibles au cycle économique a continué permettant à l’Europe d’accentuer son rebond. Les marchés actions ont atteint des niveaux de valorisations élevés et après une telle hausse, y a-t-il encore des opportunités d’investissements ? La pandémie a eu un effet darwinien sur les entreprises : les forts sont encore plus forts et ont gagné des parts de marchés pendant la crise. Au moment de la véritable reprise de l’activité économique, ces sociétés en seront les premières bénéficiaires.
Au cours du mois, Intermix baisse de 1,18%.
Nous avons au cours du mois renforcé Alibaba, Microsoft et Orange.
Depuis le début de l’année, Intermix baisse de 12,59%.